DAME DU PALAIS DE MADAME LA DUCHESSE DE BOURGOGNE.
Madame,
Les bontés infinies que Monsieur de Guilleragues, votre illustre père, eut pour moi dans le séjour que je fis, il y a quelques années, à Constantinople, sont trop présentes à mon esprit pour négliger aucune occasion de publier la reconnaissance que je dois à sa mémoire. S’il vivait encore pour le bien de la France et pour mon bonheur, je prendrais la liberté de lui dédier cet ouvrage, non-seulement comme à mon bienfaiteur, mais encore comme au (...)